nadineutile

France
Femenino, Relación Soltero/a
Se unió 3-3-2012, Activo Casi nunca

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Nombre

Nadine

Sexo

Femenino

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58

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-

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-

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Comentarios (17)

Fido1966 escribió hace 5 meses

A couper le souffle

A1B2C escribió hace 10 años

Tu aimerais réaliser ton fantasme?

A1B2C > A1B2C escribió hace 10 años

Enfin, quand je dis ton fantasme, je veux dire une partie de celui-ci....

requin escribió hace 10 años

En effet belle histoire mais que de torture pour réaliser un phantasme que n'a que pour évidence une mort certaine !!

Lyonel69 escribió hace 10 años

Ton Maître a des complices .....

lena78 escribió hace 10 años

Belle histoire

nadineutile escribió hace 10 años

Fantasme

Depuis la forte excitation ressentie lors de ma remontée nue depuis mon box en ascenseur jusqu'à mon appartement.
J’ai décidé d’aller plus loin et de m’offrir en sacrifice « underground ».

Ca y est hier j’ai finalisé hier en messagerie instantanée avec un contact ce que je devais faire.
Il est 1h 55 du matin j’attends avec ponctualité qu’il soit l’heure convenue pour descendre jusqu'à ma voiture.

Je suis nue avec juste des chaussures pour conduire et je vais descendre ainsi;
la journée a été caniculaire mon excitation est déjà très forte
Elle se mélange plus à l’angoisse que tout ne se passe pas comme prévu qu’au terrible sort auquel je me suis promis.

Ca y est il est pile 2h je tremble de tout mon corps bien qu’il fasse encore étouffant.
Je prends juste mes clés de voiture et celle de mon box. J’ouvre la porte.
Le couloir est vide à peine éclairé de l’indicateur de sortie de secours.

Je claque la porte. Ca y est maintenant c’est sans retour !
comme convenu je n’ai strictement rien pris et j’ai laissé volontairement les clefs de mon appartement à l’intérieur.

Je me dirige vers l’ascenseur, que j’appelle immédiatement.
Je me caresse les seins et une violente poussée de chair de poule monte immédiatement.
J’entends l’ascenseur monter lentement. Je poursuis mes caresses en descendant vers mon ventre.

L’ascenseur s’arrête d’un coup et la porte s’ouvre bruyamment.
La lumière vive du néon m’éclaire violement et je me vois nue dans le miroir du fond.
Ayant déjà vécu cette sensation l’autre jour je me masturbe carrément très vite après avoir appuyé sur le bouton du sous-sol.
Je veux absolument m’arracher à l’image de l’ inconscience de la situation dans laquelle je plonge.

Je suis en train de gagner cette étape important : je ne flancherai pas maintenant j’en suis sure.
Les images fantasmagoriques de mes futurs tourments se mélangent à la lumière aveuglante du néon

Je ressens la secousse d’arrêt de l’ascenseur et la porte s’ouvre tout aussi bruyamment qu’il y a un instant.
Ivre de désirs masochistes je m’engage fièrement dans le couloir et le grand hall des box encore éclairés.
Je me dis que le lieu était encore fréquenté il y a peu. Cela m’excite.

J’ouvre mon box puis très vite la portière de voiture. Je vais conduire nue dans la nuit il ne faut pas que j’y pense,
surtout pas, cela ne doit pas me faire renoncer.

Je démarre au quart de tour. Ma voiture est encore chaude du repérage que je n’ai pas pu m’empêcher de faire dans l’après-midi
malgré la forte chaleur et cette foutue voiture sans ‘clim’.
Je manœuvre rapidement et ‘bip’ très vite la porte mécanique de l’immeuble en laissant mon box ouvert, tant pis.

Je roule dans nuit plongée dans le souvenir du trajet repéré tout à l’heure.
Je m’efforce de ne penser qu’à ce que je vais faire tout a l’heure pour ne surtout pas réaliser que je suis nue au volant.
Plusieurs feux vert viennent de s’enchaîner, les rues sont désertes, tout va bien ;
je serre à droite pour prendre la voie rapide à la prochaine je j’irai vers zone industrielle comme convenu.

Ca y est je tourne. Le grand hangar désaffecté est à 300m. J’ai peur mais mon excitation est la plus forte.
Je prends la petite allée et fait le tour du bâtiment.
Je me gare dans les grandes herbes près de la petite porte en fer aperçu de loin cet après midi.

Je coupe mon moteur. Je soupire profondément …
Je mets ma tête contre le volant et ferme les yeux. Oh non, mauvaise idée : ne pas se relâcher, ne pas réfléchir.
Je me dit le plus dur est fait même si je sais pertinemment bien qu’il n’en sera rien vu le dialogue que nous avons eu hier.

Je sors. Je suis étonnée je n’ai pas froid.
Je me dirige vers la porte, à coté la grosse pierre exactement comme décrite; la clé est derrière.
Le contact n’est pas « bidon » j’en suis sure maintenant pourtant je n’ai pas vu d’autre voiture tout près.

J’ouvre et referme à clef derrière moi. Je me dois d’être obéissante c’est ce qui avait été convenu.
Au fond du couloir très sombre j’aperçois la lumière glauque d’un grand hall faiblement éclairé. Exactement comme prévu.

A partir de maintenant je sais que tous mes fantasmes sont possibles jusqu’aux plus fous
Je me souviens m’être entièrement livrée et avoir raconté mes pulsions avec couteaux aiguilles et autres tortures sans retenue.
J’ai peur et je suis excitée je sens un filet de cyprine descendre lentement le creux de ma cuisse gauche.

A partir de maintenant je sais que je vais comprendre ce qu’on attend de moi car plus rien ne m’a été précisé.
Je m’avance vers le hall, je tremble à nouveau très fortement, mes dents claquent.




Personne à l’intérieur l’endroit est très dépouillé le sol est en terre battue,
au fond sur un mur en parpaing une croix de st André en bois avec 2 bracelets de cuir fixés à deux anneaux au deux bras du haut.
Je m’avance le ventre creusé d’angoisse.
A coté de la croix il y a une grande table avec beaucoup d’instruments que je j’identifie très vite comme tranchants.
Je ne m’attarde pas dessus. Je ne veux pas trop deviner pour l’instant ce que je vais devoir subir comme tortures.

Au pieds de la table sur 1 tabourets il y une paire de bottes de cuir à lacet.

Je pense que je dois m’en équiper seule bien que je sois intimement persuadée d’être observée voire filmée
car il y en face à coté de la porte d’où je viens un miroir au mur qui pourrait bien être une glace sans tain.
Ce scénario me conviens au plus haut point et une excitation doublée d’un désir masochiste ne fait que monter en moi.

Je m’assieds sur le tabouret et enfile les bottes. Je les lace consciencieusement très serrées
je remarque qu’il y a un anneau à chaque talon. Une fois équipée je me lève et je ne peux m’empêcher de regarder à nouveau la table.
Il y a une coupe avec 4 cadenas.

Plus aucun doute on attends de moi que je m’offre totalement et sans restriction en m’attachant moi-même à la croix,mais comment faire ?

Pour les pieds pas de problème mais pour les mains ? Je m’approche du mur et de la croix pour mieux observer les bracelets.
Ils sont simplement clipsés aux deux anneaux du haut avec une courte chaînette.
Je pose les quatre cadenas à terre et les détache pour m’en équiper.
Ils se fixent chacun bien serrés au poignet avec deux boucles comme celle des ceintures
et je parviens relativement facilement à me les fixer en m’aidant des dents pour celui du poignet droit.

Il reste encore à m’accrocher à la croix. Je me tourne face à la pièce dos au mur et me recule.
J’écarte les jambes pour amener les anneaux du bas en regard avec ceux des bottes. Bon sang c’est juste !
Je suis vraiment très ouverte et je peux voir ma vulve laissant saillir les petites lèvres très humides.
Pliée en deux main à terre je ramasse un cadenas que je fixe à gauche puis je procède de même à droite.
Enfin je prends un cadenas dans chaque main.

Maintenant je dois faire un gros effort pour me redresser,
Je n’y arrive pas et je peste contre l’incongruité de la situation.
Enfin dans un ultime effort et une poussée franche des bras je rejoins avec fierté et soulagement la position verticale.
Aux poignets maintenant !
je place un des cadenas en bouche et passe l’autre dans le deuxième anneau de la chainette du poignet gauche.
J’arrive non sans mal à le passer à l’anneau du même coté et à le refermer.

C’est vraiment calculé juste et « pile poil » car je suis en forte extension mais cela me ravie.
Maintenant je dois finir le défi et attacher le poignet droit.
Passer le dernier cadenas dans le dernier anneau de la chainette ne pose somme toute pas trop de problème
en m’aidant de la bouche, lèvres et dents combinés.

Je tiens enfin le cadenas du bout des doigts et je m’étire au maximum avec la tête au trois quart retournée
pour tenter de voir ce que je fais. Je tâtonne finalement un long moment
sans regarder en faisant très attention de ne pas le lâcher quand soudain je sens que je l’ai enfin enfilé aussi.
Je prends le temps de souffler car ma respiration et forte et ma tête tourne un peu.

Il me reste à le refermer. Poignet à moitié retourné, étirée je réussi cette ultime opération.

Ca y est plus d’issue je suis offerte en croix prête pour les pires supplices.
Je me souviens m’être confiée et avoir raconté mes fantasmes les plus insensés à base de lames, crochets, couteaux, et autres scalpels.

Mon regard se porte alors à nouveau sur la table et je comprends que je vais être exaucée au delà de mes désirs les plus fous.









Voilà maintenant une demi heure que je suis en croix et mon angoisse est vive
car rien ne bouge J’ai peur de rester ici seule et d’agoniser lentement.
Mes épaules me font atrocement mal. Je voudrais pouvoir me caresser pour transformer mon supplice en performance
et trouver le plaisir au delà de la douleur.

Quelque chose bouge… Oui on vient du couloir d’entrée j’en étais sure j’étais observée.
Cette arrivée me soulage un bref instant mais mon angoisse redouble très vite a la vue de mon bourreau,
tout à fait l’archétype , il est de forte corpulence un peu huileux et il porte un grand tablier de boucher en cote de maille.
Il respire profondément de la gorge comme souvent les personne de cette corpulence.

- Tu veux être torturée et travaillée m’as tu dis sur la messagerie ?
- Oui maître je le veux.
- Tu peux encore renoncer, tu me le dis maintenant et je te libère.

Je le regarde attendre ma réponse, je ravale ma salive, ma voix s’étrangle

- Oui maitre je souhaite poursuivre.
- Tu as bien conscience qu’on est plus dans le fantasme et que tu t’apprête à être charcutée ?
- Oui maitre.
- Bien pour être bien sur j’ai noté ce que tu m’as confier souhaiter dans tes délires
je l’ai remis un peu en forme tu vas relire ce papier,
je te reposerai la question « veux tu subir cela ? » ce sera l’ultime chance de te rétracter, d’accord ?

Il me tend une feuille manuscrite au niveau des yeux. C’est une écriture line et régulière très fluide et facile à lire comme envoutante.

Ma gorge est sèche j’ai attendu surement un peu longtemps

- Alors ?

Il remue la feuille son ton est plus pressant. Je lis

+ Je veux sentir des flammes lécher mon corps
+ Je veux être flagellée
+ Je veux avoir les seins ligatures
+ Je veux être transpercés avec de grandes aiguilles
+ Je veux sentir un couteau parcourir mon corps
+ Je veux que la lame entaille ma peau
Je me trouble il remue à nouveau la feuille
+ Je veux sentir la lame pénétrer lentement ma chair
+ Je veux qu’une incision profonde se poursuive au niveau ventre
+ Je veux sentir la main de mon maitre plonger en moi par la plaie béante
Mes yeux parcourent les 2 lignes suivantes j’hésite un court instant. Je respire profondément ferme les yeux et les récites de mémoire.
+ Je veux sentir mes intestins s’échapper doucement
+ Je veux être masturbée par la main ferme de mon bourreau jusqu’à l’extase et l’inévitable évanouissement
- Bien C’est ce que tu m’a dis hier ?
- Oui maitre
- Ce programme correspond bien aux dessin que vous m’avez envoyé en « mail »
- Tout à fait maitre.
- Bien je le ferais jusqu’au bout si vous me dite maintenant que vous voulez aller jusqu’à l’ultime
Je ferme les yeux
- Torturer moi…
- Non, regarde moi, mieux que cela montre que tu le veux.

Vexée je le regarde droit dans les yeux et d’une voix à courte respiration profonde attisant mon excitation.
- Brulez moi, foutez moi, transpercez moi, tailladez moi ! Je m’offre à votre cruauté,
Je reconnaît vous avoir confier mon fantasme d’être dépecée vivante et j’ai le trac…
- Vous renoncez alors ?

Je prends une profonde respiration puis une autre plus lente et tremblante.

- Non, j’accepte d’être éventrée.
- Bien alors ton sort est celé !
- Allez y ! Commencez le supplice je suis terriblement excitée.
- Allons y…

J’ajoute en bravade

- Regardez comme je mouille

Effectivement mes cuisses dégouline de cyprine.

Ma tête tourne il ne faut pas je faiblisse je dois rester consciente le plus longtemps possible
pour vivre mon fantasme jusqu’au bout. Un frisson me glace tandis qu’il allume une torche.

fran16 escribió hace 10 años

joyeux anniversaire nadine

Lyonel69 escribió hace 10 años

Joyeux anniversaire Nadine .... Friendly

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